Vous pensez constamment à votre ? Ne laissez pas les vous miner le moral. La force mentale et la confiance en soi peuvent vous aider à garder le cap. Nous vous donnons quelques conseils pour puiser dans de nouvelles sources d’énergie – surtout quand votre corps ne répond pas comme vous le souhaitez.
Même une femme forte peut se sentir dépassée par les fuites urinaires au milieu d’un quotidien chargé. Et les pensées s’accumulent : « Est-ce que les autres vont remarquer que je suis incontinente ? », « Où sont les toilettes ? », « Est-ce que j’y arriverai à temps ? » Certaines personnes ont l’impression que leur corps les trahit. D’autres ressentent de la colère, de la tristesse, de l’anxiété ou de l’incertitude. Mais ces émotions ne nous aident pas à rester actives et à profiter de la vie.
Ne laissons pas ces sentiments désagréables nous déstabiliser. L’incontinence est très répandue et, dans bien des cas, les symptômes peuvent s’atténuer. La bonne nouvelle : il existe des protections efficaces et discrètes – comme les serviettes ou les sous-vêtements absorbants – qui permettent de vivre au quotidien avec plus de liberté.
La force mentale, ça se travaille
Développer sa force mentale, c’est apprendre à surveiller ses pensées, cultiver la gratitude, se faire confiance, faire preuve de bienveillance envers soi-même, et croire en ses capacités. Ce n’est pas toujours facile au début, mais on ne gagne pas en sérénité avec du pessimisme. Alors, ne vous en voulez pas si quelques gouttes s’échappent de temps en temps.
Le doute de soi engendre souvent des pensées négatives – qu’il est important d’apprendre à maîtriser. Ces pensées peuvent générer du stress, de l’anxiété, des tensions, et renforcer l’inconfort. Les personnes mentalement fortes savent mieux gérer leurs « faiblesses » et ne se laissent pas freiner dans leur quotidien. Et la meilleure nouvelle : la force mentale, ça se cultive – et c’est à la portée de toutes et tous.
Prendre soin de ses pensées
Ne vous en voulez pas si une goutte d’urine s’échappe la prochaine fois. Essayez plutôt de prendre conscience de tout ce que votre corps accomplit au quotidien – ou de vous concentrer sur une pensée positive. Vous pourriez par exemple vous dire : « Je suis en parfaite santé. Si l’ est mon seul souci, je peux m’estimer heureux·se ! » ou « J’ai donné naissance à des enfants merveilleux. Ma vessie affaiblie n’est qu’une conséquence naturelle. » Si des peurs vous freinent dans votre quotidien, il vaut mieux les reconnaître et les affronter consciemment. Les refouler n’est pas la solution. Même si ces blocages mentaux ne disparaissent pas du jour au lendemain, les affronter est déjà un grand pas dans la bonne direction.
Tenir un journal de vos réussites
Beaucoup d’entre nous ont tendance à être très critiques envers nous-mêmes, en se focalisant uniquement sur ce qui ne va pas. Mais cela n’aide en absolument rien. Mieux vaut se recentrer sur ses capacités et les succès déjà obtenus. Cela devient une véritable source d’énergie, car cela génère des pensées positives. C’est pourquoi il vaut la peine d’accorder un peu de temps à un journal de réussites.
La pensée positive améliore le bien-être mental et physique. À l’aide de votre journal, repensez à une réussite ou à un moment où vous vous êtes senti·e aimé·e. Notez aussi tout ce que vous avez fait pour vous-même et pour votre corps. Par exemple, si vous avez fait des exercices pour renforcer votre plancher pelvien et que vous vous êtes senti·e bien ensuite, inscrivez-le immédiatement. Visualisez ce moment avec le plus de détails et de sensations possible. Concentrez-vous sur les émotions positives que ce souvenir fait naître en vous. Cela vous apportera de la sérénité.
